La planète «au bord du gouffre»

L’ONU a averti hier sur les conséquences du réchauffement climatique, caractérisé par plusieurs records relatifs à la chaleur des océans, l’élévation du niveau de la mer, le recul des glaciers…2023 aura été sans conteste la décennie la plus chaude jamais enregistrée, poussant la planète «au bord du gouffre», a ainsi relevé l’Organisation météorologique mondiale (OMM), agence des Nations unies dont le dernier rapport apporte un constat des plus alarmants sur le niveau des gaz à effet de serre et leurs conséquences directes et indirectes sur les températures, l’acidification des mers, le recul des glaciers ou encore le danger qui pèse de plus en plus sur la banquise antarctique. L’avertissement est d’autant plus solennel qu’il s’accompagne d’une confirmation des risques induits par la pollution, notamment celle des combustibles fossiles. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, estime qu’ «il est encore temps de lancer une bouée de sauvetage aux populations et à la planète mais il faut agir maintenant». Malheureusement, les COP se suivent et se ressemblent, avec des recommandations et des rapports qui sont autant de voeux pieux, témoin, l’engagement scellé par la COP de Paris selon lequel l’Afrique devait recevoir quelque 100 milliards de dollars pour réparer les dommages causés par le changement climatique mais qui n’a toujours pas vu l’ombre d’une mise en application, ne serait-ce que symbolique. Or, de tous les continents, c’est bien l’Afrique qui pollue le moins et qui paie le plus l’ardoise des pollutions dont la planète souffre dangereusement.

L’ONU a averti hier sur les conséquences du réchauffement climatique, caractérisé par plusieurs records relatifs à la chaleur des océans, l’élévation du niveau de la mer, le recul des glaciers…2023 aura été sans conteste la décennie la plus chaude jamais enregistrée, poussant la planète «au bord du gouffre», a ainsi relevé l’Organisation météorologique mondiale (OMM), agence des Nations unies dont le dernier rapport apporte un constat des plus alarmants sur le niveau des gaz à effet de serre et leurs conséquences directes et indirectes sur les températures, l’acidification des mers, le recul des glaciers ou encore le danger qui pèse de plus en plus sur la banquise antarctique. L’avertissement est d’autant plus solennel qu’il s’accompagne d’une confirmation des risques induits par la pollution, notamment celle des combustibles fossiles. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, estime qu’ «il est encore temps de lancer une bouée de sauvetage aux populations et à la planète mais il faut agir maintenant». Malheureusement, les COP se suivent et se ressemblent, avec des recommandations et des rapports qui sont autant de voeux pieux, témoin, l’engagement scellé par la COP de Paris selon lequel l’Afrique devait recevoir quelque 100 milliards de dollars pour réparer les dommages causés par le changement climatique mais qui n’a toujours pas vu l’ombre d’une mise en application, ne serait-ce que symbolique. Or, de tous les continents, c’est bien l’Afrique qui pollue le moins et qui paie le plus l’ardoise des pollutions dont la planète souffre dangereusement.
https://www.msn.com/fr-xl/afrique-du-nord/algerie-actualite/la-plan%C3%A8te-au-bord-du-gouffre/ar-BB1kjaFI?ocid=msedgdhp&pc=EDGEESS&cvid=95ea9e16876b47dfbea2c8fb3885d3c1&ei=45

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